Les Echos évoque le « nouveau filon de l’e-reputation » en s’appuyant sur une étude de l’institut Oto Research (FullSix), lui-même prestataire de services d’e-reputation. L’institut comptabilise « 150 acteurs de la veille d’e-reputation » en France.
Les barrières d’entrée sont encore faibles car l’e-reputation est encore réduite à sa dimension de veille, de buzz sans intégration dans le processus décisionnel de l’entreprise, ni coordination au plus haut niveau stratégique.
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